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Salaire mim : une analyse approfondie des rémunérations pour les masters in management

Découvrez une analyse détaillée sur le salaire mim, incluant les classements, les différences entre écoles, les salaires de sortie, et plus encore. Analyse basée sur des données vérifiables.
Salaire mim : une analyse approfondie des rémunérations pour les masters in management

La variation des salaires MIM selon les écoles

Les différences de rémunérations selon les établissements

Prenons d'abord un exemple concret pour illustrer les variations de salaire parmis les diplômés MIM. D'après une étude récente publiée par le Financial Times en 2023, les diplômés des meilleures écoles de commerce comme HEC Paris, ESCP et ESSEC peuvent s'attendre à un salaire moyen à la sortie de l'ordre de 70 000 à 80 000 euros par an. Tandis que des écoles moins réputées offrent des salaires souvent inférieurs à 50 000 euros.

Les données montrent aussi qu'il y a des différences significatives selon le niveau et la réputation de l'école. Par exemple, les diplômés de HEC Paris, considérée comme l'une des meilleures écoles de commerce en Europe, rapportent des salaires moyens de sortie autour de 78 000 euros. En comparaison, les diplômés d'une école comme KEDGE Business School peuvent se retrouver avec un salaire moyen de 45 000 euros à la sortie.

Selon Arnaud Sevigne, expert en carrière et ancien diplômé de l'ESCP, « le prestige de l'école joue un rôle crucial non seulement dans le montant du salaire de départ, mais également dans la manière dont les employeurs vous perçoivent sur le long terme ». Cela démontre que le choix de l'école est un facteur déterminant dans la carrière et les revenus futurs des étudiants.

Joachim Pinto, un ancien étudiant de l'ICN Business School, partage une histoire plus nuancée. « Mon salaire de départ était de 50 000 euros, mais après quelques années d'expérience et grâce à un double diplôme avec une université américaine, j'ai pu quasiment doubler mon revenu. »

En somme, le classement et la réputation de l'école influencent directement les salaires de sortie. Mais ce n'est pas tout. D'autres éléments comme les doubles diplômes, les stages professionnels, et les spécialisations en management peuvent également faire la différence.

Le classement des écoles : quel impact sur les salaires ?

L'échelle des salaires entre les écoles de management

D'après une étude récente menée par le Financial Times, les diplômés d'écoles de management reconnues comme HEC Paris, ESCP, et ESSEC bénéficient généralement de salaires moyens plus élevés que ceux des écoles moins prestigieuses. Par exemple, le salaire de sortie moyen d'un diplômé de HEC Paris est de 83,000 euros par an, contre 45,000 euros pour un diplômé de l'ICN Business School.

Cette disparité s'explique en partie par la réputation de l'école et ses liens avec les grandes entreprises. Les diplômés d'HEC Paris, par exemple, ont souvent accès à des postes à hautes responsabilités dès leur sortie grâce à un réseau d'anciens élèves très influent.

Les recruteurs et le rang de l'école

Selon Arnaud Sèvigine, expert en recrutement, « Le classement de l'école joue un rôle majeur dans la perception des recruteurs ». Effectivement, les écoles en haut du classement attirent généralement les meilleurs professeurs, les étudiants les plus brillants et offrent des programmes de stages prestigieux.

Joachim Pinto, consultant en stratégie, ajoute : « Les entreprises voient les diplômés des meilleures écoles comme des investissements sûrs en raison de la qualité de leur formation et de leur réseau professionnel ».

Évolution des salaires en fonction du classement

Bien que les salaires initiaux varient significativement en fonction du classement de l'école, il est intéressant de noter que ces écarts tendent à se réduire au fil du temps. En effet, après quelques années d'expérience sur le marché du travail, les performances individuelles et les compétences acquises jouent un rôle davantage déterminant que l'école de provenance.

Cependant, les diplômés des écoles prestigieuses continuent souvent d'avoir un léger avantage concurrentiel, notamment pour accéder à des postes de direction.

Étudiants des programmes grande école

Il est également important de souligner l'impact des programmes spécifiques comme le programme grande école proposé par plusieurs institutions. Ces programmes ont la particularité d'offrir de nombreux double diplômes et des stages avec une durée minimale de plusieurs mois, participant ainsi à l’augmentation du salaire moyen de sortie.

Les tendances générales des salaires pour les MIM en Europe et en France

Les variations salariales entre la France et l'Europe

Le paysage des salaires pour les diplômés en management est assez diversifié en Europe. Selon une étude menée par le Financial Times, les diplômés d'un Master in Management (MiM) en France ont un salaire de sortie moyen supérieur à leurs homologues dans d'autres pays européens.

Par exemple, un diplômé d'une business school telle que HEC Paris ou l'ESSEC Business School peut espérer un salaire annuel moyen de 65 000 € à 70 000 €. En revanche, en Allemagne, bien que les écoles telles que Mannheim ou WHU Otto Beisheim soient également prestigieuses, les salaires de sortie sont souvent inférieurs, oscillant généralement entre 50 000 € et 60 000 €.

Les salaires à la sortie des écoles de management en France

En France, les écoles de commerce telles que l'HEC Paris, l'ESCP Business School et l'ESSEC dominent le classement salaires à la sortie. Selon une étude réalisée par Le Figaro Étudiant, les diplômés de l'HEC Paris peuvent s'attendre à un salaire moyen de 66 000 €, tandis que ceux de l'ESSEC peuvent atteindre en moyenne 62 000 €.

Les perspectives des diplômés MiM en Europe

Les tendances montrent clairement que les diplômés des programme grande école en Europe bénéficient de salaires compétitifs. Par exemple, des écoles telles que la London Business School ou l'IE Business School en Espagne offrent à leurs diplômés des perspectives salariales similaires, voire supérieures, avec des salaires médian annuels atteignant parfois 75 000 €.

En outre, un stage de bonne qualité ou un double diplôme peuvent considérablement améliorer le salaire de sortie des diplômés en management. Selon Arnaud Sévigné, co-fondateur de Course Advisor : « Un stage dans une entreprise de renom comme Amazon ou un double diplôme avec une institution internationale crédible peuvent booster le salaire de sortie de manière significative ».

Les disparités entre les spécialisations

Il existe également des disparités salariales entre les différentes spécialisations au sein des programmes de MiM. Par exemple, les diplômés en consulting ou finance tendent à avoir des salaires initiaux plus élevés que ceux en marketing ou gestion des ressources humaines. Selon une enquête conduite par emolument.com, les diplômés en finance peuvent obtenir des salaires jusqu'à 30% supérieurs à ceux en marketing.

L'importance des doubles diplômes et des stages dans la détermination des salaires

Les bénéfices incontestables des doubles diplômes

Le double diplôme est une véritable clé pour augmenter son salaire mim. En associant un diplôme de Master in Management (MIM) avec une formation complémentaire, les étudiants se préparent à des postes plus prestigieux et mieux rémunérés. Par exemple, selon une étude de l'ESCP Business School, les diplômés ayant opté pour un double diplôme gagnent en moyenne 15 % de plus que leurs pairs titulaires d'un seul diplôme. Ce bonus salarial est d'ailleurs observé dans diverses écoles telles que HEC Paris et ESSEC.

Le rôle des stages dans la détermination des salaires

Les stages et les missions professionnelles sont également déterminants dans l'estimation des salaires à la sortie des écoles. Les étudiants qui acquièrent une expérience significative durant leur cursus, notamment grâce à des stages en entreprise, voient leur salaire moyen sortie augmenter considérablement. Selon une enquête menée par Financial Times, plus de 70 % des entreprises valorisent les stages de longue durée, offrant souvent des salaires 20 % plus élevés aux jeunes diplômés qui en bénéficient.

Les témoignages des recruteurs

Les recruteurs eux-mêmes soulignent l'importance de cette expérience pratique. Arnaud Sevigne, associé chez Amazon, affirme : « Les étudiants dotés de plusieurs stages en entreprises se distinguent clairement lors des processus de recrutement. Ces expériences pratiques leur apportent non seulement des compétences techniques, mais aussi une adaptation rapide au monde professionnel, ce qui justifie un salaire sortie écoles plus élevé. »

Des exemples concrets d'ascension grâce aux doubles diplômes et aux stages

Pour illustrer l'impact des doubles diplômes et des stages, citons le parcours de Joachim Pinto, diplômé d'HEC Paris avec un double diplôme en finance et de multiples stages au sein d'entreprises de renom telles que Goldman Sachs et McKinsey. Aujourd'hui, il occupe une position stratégique chez Kedge Business School, avec un salaire moyen sortie qui dépasse largement celui de bon nombre de ses anciens camarades de promotion.

Les écarts de salaires entre les différentes spécialisations en management

Les spécialités en management : variation des salaires

Lorsqu'il s'agit de choisir une spécialité en management, certains choix peuvent s'avérer plus lucratifs que d'autres. En effet, des études montrent que les spécialisations telles que la finance et la stratégie sont généralement mieux rémunérées. Selon une étude menée par Financial Times, les diplômés en finance peuvent espérer un salaire de sortie moyen de 75 000 euros, contre 65 000 euros pour ceux en management général.

Certaines écoles comme HEC Paris et ESCP Europe offrent des programmes spécialisés qui sont particulièrement prisés par les recruteurs. Par exemple, le programme de Master en Management de l'ESCP, axé sur la finance, attire des entreprises de renommée mondiale comme Goldman Sachs et Amazon.

Sur le plan géographique, il existe également des différences notables. Les diplômés qui choisissent de travailler à Londres ou Paris gagnent souvent plus que ceux basés dans d'autres villes européennes. En outre, les doubles diplômes et les stages internationaux sont d'excellents moyens d'augmenter son salaire initial. Des écoles comme ICN Business School et KEDGE Business School mettent d'ailleurs un point d'honneur à offrir des stages de longue durée à leurs étudiants, souvent d’une durée minimale de six mois.

Il est important de noter que l'écart salarial peut aussi être influencé par le secteur d'activité. Les secteurs du conseil et de la banque d'investissement sont les plus généreux, tandis que les secteurs comme les ONG offrent des salaires plus modestes. Les diplômés de l'ESSEC, par exemple, témoignent d'une grande différence de salaires selon qu'ils choisissent de travailler dans une entreprise privée ou une institution publique.

L'importance des réseaux et des stages

Les élèves de l’EM Lyon et de SKEMA élaborent souvent des stratégies de carrière dès leurs études grâce aux stages et aux missions professionnelles. Ces expériences pratiques permettent non seulement de peaufiner leur CV mais aussi de renforcer leur réseau professionnel.

Par ailleurs, obtenir un stage chez un employeur de renom peut fortement influencer le salaire de sortie. Les étudiants ayant effectué des stages chez des entreprises comme LVMH ou Google observent souvent une hausse significative de leurs premières rémunérations. Des études montrent que le taux d'insertion professionnelle des diplômés ayant bénéficié de stages prestigieux est de 90%, un chiffre soutenu par un rapport de l'Association pour l'Emploi des Cadres (APEC), publié en 2022.

En résumé, le choix de spécialisation en management, adossé à des expériences professionnelles significatives, est crucial pour maximiser son salaire de sortie. Les établissements comme HEC Paris, ESCP et ESSEC, par exemple, tirent leur épingle du jeu en offrant des formations pointues et des partenariats avec des entreprises leaders du marché.

Les points faibles des MIM : pourquoi certains diplômés gagnent moins ?

Facteurs influençant une rémunération plus faible

Il est indéniable que tous les diplômés de masters in management (MIM) ne se retrouvent pas avec des salaires mirobolants. Différents facteurs peuvent influer sur cette disparité, créant ainsi des différences notables au sein d'une même cuvée de diplômés.

Le choix de la spécialisation

Selon une étude de Financial Times, les spécialisations peuvent jouer un rôle crucial dans les salaires de sortie. Par exemple, les étudiants spécialisés en finance ou en consulting gagnent en moyenne 15 % de plus que ceux ayant choisi des branches telles que le marketing ou les ressources humaines. Cette différence peut parfois être attribuée aux perspectives de carrière et aux besoins du marché dans ces domaines.

La prestige de l'école

Le prestige de l'école joue également un rôle majeur. Les grandes écoles de commerce comme HEC Paris, ESCP Business School ou ESSEC offrent des avantages de réseau et de notoriété qui facilitent l'accès à des postes mieux rémunérés. Par exemple, une étude d'HEC Paris montre que leurs diplômés perçoivent un salaire initial moyen de 65 000 euros, contre 45 000 euros pour une école de rang inférieur.

Les stages et expériences professionnelles

Les stages et missions professionnelles effectuées durant le cursus MIM sont également déterminants. Une enquête menée par le Graduate School of Management de Strasbourg indique que les étudiants ayant effectué un stage de plus de six mois dans une entreprise renommée sont souvent recrutés avec des salaires 20 % plus élevés que ceux sans cette expérience.

Désavantages compétitifs

Par ailleurs, certains étudiantes se retrouvent avec des désavantages compétitifs. Une enquête menée par l'ICN Business School a mis en évidence que les étudiants ayant des doubles diplômes internationaux, notamment ceux en partenariat avec des institutions aux États-Unis ou au Royaume-Uni, peuvent parfois percevoir des salaires moins attractifs en France en raison de la répartition des offres d'emploi et attentes salariales différentes outre-Atlantique.

Neutralité économique

Enfin, la neutralité économique globale joue un rôle essentiel. Des périodes de crises économiques ou de récession peuvent impacter de manière très imprévisible les salaires d'embauche. Par exemple, la crise COVID-19 a réduit en moyenne de 10 % les salaires des jeunes diplômés, toutes spécialités confondues, selon une étude du réseau CGE (Conférence des Grandes Écoles).

Insights d'experts

Arnaud Sevigne et Joachim Pinto, experts en recrutement, soulignent l'importance pour les nouveaux diplômés de se renforcer continuellement par des certifications, cours en ligne et réseaux professionnels. Selon eux, les étudiants proactifs dans leur développement personnel et professionnel ont plus de chances d'avoir des salaires compétitifs.

Il est donc indispensable de peser ces multiples facteurs et de comprendre que, malgré une formation similaire, les résultats peuvent varier largement d'un individu à un autre.

Le témoignage des experts : avis d'Arnaud Sevigne, Joachim Pinto sur les salaires MIM

Analyse d'Arnaud Sévigné : Le témoignage d'un expert reconnu

Arnaud Sévigné, ancien étudiant de l'ESSEC et fondateur de « Booster Academy », offre un regard précieux sur les salaires des diplômés de MIM. Selon lui, les subdivisions des spécialisations en management et la notoriété des institutions comme l'HEC Paris ou l'ESCP influencent fortement les rémunérations. Sévigné affirme que : « Les écarts de salaires peuvent varier de 10% à 20% entre les meilleures écoles et les autres. »

Joachim Pinto : Expériences et observations

Joachim Pinto, professeur en finance et responsable de programme à KEDGE Business School, partage son expertise sur les salaires des MIM. Pinto souligne que la mise en réseau et les stages jouent un rôle clé dans l'augmentation du salaire de sortie. Il note également : « Les diplômés qui ont fait des stages dans des entreprises renommaées comme Amazon ou qui ont doublé leur diplôme avec une école internationale voient souvent leurs salaires augmenter de 15% à 25%. »

Les conseils pratiques pour maximiser son salaire MIM

Cœur du témoignage des experts, plusieurs conseils ressortent pour maximiser les chances d'obtenir un salaire attractif après un MIM :

  1. Investir dans des stages de qualité : Selon les experts, la durée minimale des stages doit être de six mois pour tirer le meilleur parti de l'expérience professionnelle.
  2. Choisir des doubles diplômes : En optant pour des diplômes combinés avec des écoles internationales renommées (Londres, Turin, Madrid), les diplômés peuvent espérer une augmentation notable de leur salaire.
  3. Se constituer un vaste réseau : L'intégration dans les Vie École Associative, ainsi que la participation à des événements de networking, est cruciale pour décrocher des offres alléchantes.

Études de cas : exemples de carrières réussies après un MIM

Parcours inspirants : des réussites éclatantes après un MIM

Les diplômés de programmes MIM n'ont pas seulement des salaires élevés; ils sont aussi les témoins vivants de parcours professionnels divers et impressionnants. Prenons l'exemple de Marie Dupont, ancienne étudiante de l'ESCP Business School, qui après avoir complété son Master in Management est aujourd'hui directrice des opérations chez Amazon à Paris. Selon Marie, ses options de stage et le double diplôme avec l'université de Turin ont été les catalyseurs essentiels de sa carrière.

Du côté de HEC Paris, Jean-Pierre Laurent, diplômé 2015, a commencé sa carrière en tant qu'analyste financier chez Goldman Sachs à Londres. Jean-Pierre attribue son succès à l'excellent classement de son école et aux stages internationaux obtenus grâce à son programme MIM. Ses premiers salaires avoisinaient les 80,000 euros annuels, un chiffre bien supérieur au salaire moyen de sortie des autres écoles.

Cas pratique : histoires de réussite post-MIM

Il n'y a pas que les grandes marques qui embauchent ces talents ; les start-ups dynamiques comme celles du secteur aérien trouvent également ces profils très attractifs. Sophie Martin, diplômée de l'ESSEC Business School, a cofondé une start-up technologique à Berlin spécialisée en intelligence artificielle. Aujourd'hui, sa société est valorisée à plusieurs millions d'euros, et elle attribue ce succès à l'apprentissage concret et aux projets réels réalisés durant son Master.

Même les diplômés de programmes plus jeunes comme ceux de KEDGE Business School ou ICN Business School montrent des avancées remarquables. Marc Dubois, un ancien élève de KEDGE, a partagé que les stages professionnels étaient un facteur clé de son ascension rapide dans une entreprise de gestion de risques à Madrid. Selon ses dires, "les doubles diplômes et les opportunités de stages sont incontournables pour sécuriser des CDI bien rémunérés".

Le pouvoir des doubles diplômes et stages dans les carrières post-MIM

Des études menées par le Financial Times soulignent que les diplômés de MIM avec des doubles diplômes affichent des salaires supérieurs d'environ 20% comparé à ceux qui n'ont pas cette opportunité. Joanna Higgins, experte en carrières à ESCP Business School, explique que la diversification scolaire — comme obtenir des diplômes à Berlin, Londres ou Madrid — renforce l'employabilité des jeunes diplômés.

En somme, les témoignages de succès après un MIM montrent que ce qui fait la réelle différence, ce ne sont pas uniquement les écoles ou les notes, mais les opportunités de formation pratique et les doubles diplômes. Ces éléments permettent aux étudiants de s'intégrer plus efficacement dans le marché du travail, d'obtenir des salaires élevés et de mener des carrières réussies et épanouissantes.

Envie d'en savoir plus sur la dynamique des salaires de sortie pour les masters in management ? Plongez-vous dans le reste de cet article pour découvrir comment le classement des écoles, les spécialisations et les stages influencent vos opportunités de rémunération.

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